Son fantasme était d’être en position de faiblesse devant une femme dominatrice, plusieurs aurait été encore mieux.

Bien évidement, ce fantasme se réaliserait dans un lieu clos, secret, caché loin de son travail, sa famille et ses amis. Cette ou ces femmes l’humilieraient et s’amuseraient de sa position de faiblesse. Elles prendraient plaisir à jouer avec sa verge et ses fesses, juste comme ça, pour le ridiculiser. Elles pourraient aussi l’obliger à se masturber devant elle.

Et pour imager ses envies et ses fantasmes, il copie des photos trouvées sur le net et fait des montages. Si sur le fond ses fantasmes ne sont pas mieux ou moins bien que ce des autres, il y a un ENORME problème. Sa patronne !

Sa patronne est une coquine, un peu dominatrice à ses heures, et comme lui, elle est inscrite sur Fessestivites. En surfant dans les galeries d’images, elle croit voir sa soeur.

• Oh la coquine, elle m’a cachée ça ! Se dit Angèle en cliquant pour agrandir l’image.

ET LA elle découvre qu’une photo de sa soeur a été détournée pour un montage. Folle de rage, elle clique sur le profil du fautif et se met à l’étudier. Gros gag, il est du même département qu’elle, et il lui semble reconnaître le fautif. Elle le demande en amis puis lui adresse un message privé. Etant connecté, moins d’une minute plus tard, une conversation démarre sur la messagerie instantanée. Une femme en colère peut être très vicieuse, et c’est avec un esprit de vengeance qu’elle discute avec lui en lui faisant croire que son profil l’intéresse.

Max croit rêver, il est aux anges et, au comble de l’excitation, lui donne le code de son dossier privé où sont ses photos à visage découvert. Pendant la conversation, sa patronne copie toutes les images compromettantes et fait des copies d’écran avant de mettre un terme aux échanges.

Le lundi, Max apprend qu’il est convoqué par la direction à 17h45. N’ayant rien à se reprocher, il n’est pas trop inquiet, peut-être même, qu’une promotion lui sera proposée. A l’heure convenu, il attend d’être reçu dans le bureau de la secrétaire qui a l’air amusée de sa présence. Et pour cause......

A 18 heure, la secrétaire l’invite à entrer dans le bureau de la patronne de cette grande entreprise de produits chimiques. Elle entre avec lui et ferme la porte à clé derrière elle avant d’aller s’asseoir sans l’inviter à faire de même. En le regardant avec un air méchant, sa patronne joue avec le silence. Debout devant le bureau, Max sent aussitôt que l’atmosphère est tendue. Le silence dure, aucun mot d’est échangé. Debout face à elle, il commence à se décomposer.

• Vous êtes une honte pour l’entreprise ! Lui dit-elle froidement.

• Comment ?

• L’onanisme nuit à l’acuité auditive. Vous êtes donc un sacré branleur si je comprends bien !

• Madame, je suis désolé, je ne comprends pas où vous voulez en venir ! Répond Max très mal à l’aise.

• Mettez-vous torse nu !

• Pardon ?

N’aggravez pas votre cas, vous êtes à deux doigts d’être licencié.

• Mais, heu....

• Exécution et vite, mettez-vous torse nu de suite ou je signe votre licenciement ! Crie sa patronne en sortant une grande enveloppe qu’elle pose sur son bureau.

Décomposé, blanc comme un lige lavé avec Omo qui lave plus blanc que blanc, Max se décide à poser la veste de son costume puis à défaire sa cravate. En voyant sa patronne taper nerveusement sur son bureau avec son stylo, il se presse de défaire les boutons de sa chemise qu’il retire sans tarder.

• Retirez aussi ce tee-shirt de vieux, on dirait ceux que mon père portait il y a 50 ans ! Ordonne Angèle d’une voix froide. Et maintenant, mettez les mains derrière votre nuque. Je disais donc que vous êtes une honte pour l’entreprise ! Indique sa patronne en se levant pour venir tourner autour de lui. Vous sentez sous les bras, le déodorant n’est pas fait pour les chiens, en plus, vous vous négligez.

Max peine à respirer et commence à transpirer.

• L’image de l’entreprise peut être entachée par votre faute et j’ai assez de preuves pour vous virer et, même si vous alliez au prud’hommes, vous seriez la risée du tribunal. Trouvez du travail dans la région vous serait impossible, personne ne voudrait de vous !

• Mais qu’ai-je fait de si grave Madame ? Demande Max.

• Ne faites pas l’innocent, j’ai la preuve des vols que vous commettez en plus du reste. Ma secrétaire ici présente a été outrée en voyant les preuves.

• Je confirme, c’est lamentable, nous n’aurions pas cru ça de vous ! Rajoute la secrétaire en prenant un air dégoûté. Moi je vous virerai sur la champ sur j’étais votre patronne. On voit bien que vous n’avez pas de couille !

Toujours près de lui, Angèle attrape la ceinture du pantalon de Max et commence à la défaire.

• Mais que faites-vous madame ?

• Je veux voir si vous avez des couilles comme sur les photos qui feraient bien rire le conseil du prud’homme !

Deux secondes plus tard, avant même qu’il ait le temps de le rattraper, Angèle tire très vite et très fort le pantalon vers le bas entraînant avec lui le slip de Max.

• Vous n’avez pas le droit ! Crie Max en se baissant pour l’attraper et le remonter.

Les pieds bloqués dans son pantalon, il perd l’équilibre quand Angèle le pousse en avant. Il s’étale lamentablement sur la moquette et, avant qu’il mette les mains en appui pour se relever, sa patronne pose son talon au milieu de son dos. La secrétaire sort son téléphone mobile et fait deux photos. Lorsqu’il s’en aperçoit, il tente de cacher son visage mais trop tard, le mal est fait. Elle se lève et prend d’autres photos malgré les réfutations de Max à présent fou de rage.

• Arrête de crier comme un goret, à présent, c’est aussi ta femme que tu risques de perdre si on lui envoie ces photos en plus des autres ! Hurle la secrétaire.

Sa patronne attrape le dossier et sort les photos qu’elle a copiées sur Fessestivites et les pose devant le visage de Max déjà bien rouge.

• Tu vois la photo de la blonde, je veux que tu lèches ses pieds, c’est ma soeur connard ! Lui dit sa patronne en écrasant son visage sur la photo.

Quelques secondes plus tard, elle lui dépose d’autres photos et les impressions écran ultra compromettantes.

• Alors comme ça, tu rêves d’être humilié, nu devant des femmes qui profitent de la situation. Tu dois être heureux là puisque tu réalises ton rêve ! Mets-toi à quatre pattes comme un bon toutou, et tends bien les fesses que je te donne la fessée que tes parents auraient dû de donner quand tu étais petit. Quoi que petit, tu l’es réellement de par tes agissements de voleur d’images. Tu es vraiment pitoyable !

Lorsqu’il se met à quatre pattes, sa patronne s’assoit sur son dos, attrape la règle de son bureau et entreprend de le fesser. Max serre les dents, car sa patronne ne plaisante pas. Elle y va de si bon coeur que la règle finit par se casser. Elle se lève, le pousse pour le faire tomber sur le côté et lui ordonne de s’allonger sur le dos. A peine fait, elle attrape ses pieds qu’elle fait remonter en lui disant de faire le poirier. Lorsqu’il prend la position, elle plie ses jambes et l’oblige à poser les pieds derrière sa tête.

• Ne bouges pas, tu vas avoir une promotion ! Lui ordonne sa patronne en attrapant des stylos.

Elle les mouille et entreprend de les lui enfiler dans l’anus. Max supplie en vain, elle lui en enfile trois malgré ses cris.

• De chef de secteur, tu vas devenir pot à crayons de la direction. Ca c’est une belle promotion non ? Lui demande la secrétaire pliée de rire en prenant des photos.

• Oui et comme ça l’excite d’être humilié par des femmes, autant qu’on lui fasse plaisir. Allez branle-toi, la position est parfaite pour faire du facial. D’ailleurs ouvre grand ta bouche pour essayer de boire un peu de ton jus d’homme.

Assise sur les talons de Max, elle lui ordonne de se masturber en claquant ses cuisses et ses fesses grandement exposées et faisant office de pots à crayons. Il obtempère mais, le Priape ressemble plus à une nouille trop cuite qu’une verge. Ne parvenant pas à bander, on peut le comprendre, il se fait fesser de plus belle.

• Allez lève toi et fais ça debout devant nous, prouves-nous que tu es un homme. Par contre, je veux que tu gardes un feutre dans les fesses, je trouve que cela te va bien. Lui ordonne Angèle.

Résigné, Max abdique, il sait qu’il est piégé et n’a pas d’autres choix que de faire ce que veulent les deux furies. Bien loin de ses fantasmes, il n’arrive pas à avoir une érection, surtout que les deux femmes ne manquent pas de se moquer du piètre résultat. En bonne lesbienne perverse, la secrétaire prend un des feutres pour dessiner une cible sur les fesses de Max avec une flèche partant de son dos vers son pertuis. Elle y ajoute « cul de salope » en gros caractères. Ce « body paint » très artistiques.... est évidement immortalisé sur le téléphone de la secrétaire qui s’amuse comme une folle.

• Bien, ça suffit, tu te branleras chez toi. Maintenant tu t’habilles et tu te casses. Je veux que tu retires toutes les photos volées de ton profil sur Fessestivites et d’autres sites où tu dois être. Comme il y a des pénalités et des indemnités de préjudice, le samedi matin tu viendras chez moi pour laver ma voiture. Ce sera bénévole bien sûr, nous sommes d’accord ?

• Oui madame ! Répond Max trop heureux de fuir ce bureau maudis.

EPILOGUE

Max découvre le week-end suivant qu’Angèle et la secrétaire sont en couple. Elles ne s’en cachent pas en privé et s’amusent à ses dépends en lui faisant lustrer leurs voitures, soit nu, soit en tenue de soubrette. Les conditions étant différentes, quand elles jouent avec lui, il parvient à avoir une érection et à jouir. Angèle ne supporte pas qu’il y ait du sperme chez elle, il doit évidement lécher et avaler après avoir éjaculé dans sa propre main ou sur le capot de la voiture.

Fin

TSM

Note de l’auteur :

Il y a un petit clin d’oeil dans cette petite histoire érotique que j’ai écrite pour faire plaisir à quelqu’un.

Cette histoire érotique est totalement fictive et une pure fiction. Toute ressemblance avec des personnes existantes ou ayant existées ou n’existant pas encore est purement fortuite.